Après L’Or du Rhin, La Walkyrie, est le deuxième imposant chapitre de l’épopée Wagnérienne présentée par l’Opéra national de Paris.
Le livret de La Walkyrie, imprégné de cette mythologie dont il ne faut pas perdre une miette tant le propos est dense avec ces histoires de famille compliquée, ces dieux cavaleurs, ces enfants incestueux, ces trahisons et vengeances incessantes et cette obsession à n’importe quel prix du bon lignage (qui rappelle toujours un truc dérangeant chez Wagner), tient bien éveillé. La soirée commence à 18h30 pour se clore à 23h30, il y a de longs entractes qui permettent de reprendre son souffle.