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danse contemporaine

  • « Dive », Edouard Hue à La Scala jusqu’au 27 janvier

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    Au centre de Paris, à La Scala -désormais nouveau repère de la danse contemporaine (entre autres découvertes artistiques)- le jeune chorégraphe Edouard Hue présente son tout nouvel opus "Dive". "Shiver" et "All I Need", ces dernières pièces vues déjà entre ces mêmes murs en janvier 2023, ont été une merveilleuse révélation. Il est toujours difficile d’enchainer les succès, le public est exigent, plus une création est réussie plus l’attente pour la suivante est forte, cet adage ne semble pas perturber Edouard Hue, une nouvelle très belle page de danse s'ouvre...

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  • "Stéréo" jusqu'au 22 octobre à La Villette

    La danse, le théâtre et la musique se rencontrent difficilement, un enseignement artistique très exigeant et donc trop catégorisé, un public en quête de repères culturels et des salles de spectacles peu adaptées participent peut-être à ce manque de liens entre ces arts. L'artiste français Philippe Découflé s’est toujours moqué de la complexité de cet environnement culturel très français, pendant la décennie géniale des années 80 pour la danse contemporaine (et pas seulement) il a peut-être été un peu regardé de haut par ses contemporains, pourtant il a été le seul à rendre cet art du mouvement accessible à tous. D’ailleurs un savoureux parfum de cette période se dégage de son nouveau spectacle « Stéréo » à La Villette, un groupe live (ultra bon), chant, guitare, basse, batterie, rock-pop, et souvent punk, s’illustre avec une troupe de sept talentueux danseurs. Ce spectacle entre en résonance avec le « Portrait » du plus jeune Mehdi Kerkouche, cette recherche de mixité des genres qu’elle soit physique, ethnique, sociale ou autres, portée par la voix des arts n’est pas nouvelle, Maître incontesté de cette filiation, il y a plus longtemps, Maurice Béjart en son époque avait déjà préparé le terrain.

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  • Portrait de Mehdi Kerkouche jusqu'au 5 novembre à la Scala Paris

    Lors de cette satané crise de la COVID-19 en 2020, les artistes ont cherché des moyens d’expression, combler le vide laissé par la fermeture des salles de spectacle a été une question de survie, essentielle. Parmi eux, le chorégraphe Mehdi Kerkouche avec ses vidéos « On danse chez vous » a réuni 70 danseurs pour le plus grand plaisir des abonnés aux réseaux sociaux, tout en destinant  son action au soutien du personnel soignant. Artiste fermement ancré dans son époque, Mehdi Kerkouche passe du cinéma à la publicité, fait des allers et retours entre la mode et la musique (Angèle, Christine and The Queens, ...), enseigne la vision de son art du mouvement, va jusqu'à créer une pièce chorégraphique  (« Et si ») pour le Ballet de l’opéra national de Paris,  et lance sa compagnie de danse EMKA en 2017. Désormais installé au Centre Chorégraphique de Créteil et du Val-de-Marne, l’objectif à la fois artistique et sociale de Kerkouche est d’ouvrir la danse au plus grand nombre et de créer des interactions entre les genres.

     

    La danse, langage universel et ouverture au monde

    Jusqu’au 5 novembre 2023, dans la toujours très innovante Scala, la création 2023 de Kerkouche offre à neuf danseur.se.s de donner vie à « Portrait ». Un « Portrait » de famille, celle que l’on ne choisit pas, celle qui rassemble ou éloigne, celle que l’on fuit ou qui étouffe, enfin celle que l’on aime ou que l’on craint.

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  • Marion Motin /​Xie Xin /​Nicolas Paul /Crystal Pite à Garnier, jusqu'au 12 octobre 2023

    Soir de Gala à L’Opéra de Paris

    C’est toujours un moment émouvant et unique - même si l’Orchestre Pasdeloup confond le défilé du Ballet de l’Opéra national de Paris avec un spectacle de majorettes -  la connivence entre la joie des artistes et l’enthousiasme du public, le chic des tutus blanc et la magnificence des lieux nous indiquent qu’il s’agit bien de la soirée d’ouverture de la saison de l’Opéra de Paris.

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  • WINTERREISE (Voyage d’hiver) d'Angelin Preljocaj au Théâtre des Champs Elysées, et Body and Soul de Crystal Pite à L'Opéra Garnier

    productions internationales albert sarfati,transcendanses,théâtre des champs-elysées,angelin preljocaj,franz schubert,thomas tatzl,james vaughan,constance guisset,eric soyer,danse contemporaineEn 2019, Crystal Pite crée Body and Soul pour le Ballet de l’Opéra de Paris, cette même année Angelin Preljocaj imagine Winterreise Voyage d’hiver initialement pour le Ballet de La Scala de Milan puis avec sa compagnie lors du Montpellier Danse. En ce début d’année 2022, attendu avec ferveur, le premier est repris à l’Opéra Garnier jusqu’au 20 février tandis que le second vient de triompher pour quatre représentations exceptionnelles au Théâtre des Champs-Élysées.

    Winterreise voyage d'hiver Ballet Préljocaj  (photo Jean-Claude Carbonne)

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  • Dialogues (TranscenDanses) au Théâtre des Champs-Elysées, jusqu'au 5 décembre 2021

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  • Nederlands Dans Theater /NDT 2 - Ekman / Goecke / Leon & Lightfoot au Théâtre National de Chaillot

    jiri kilian,nederlands dans theater ndt 2,ekman,goecke,leon & lightfoot,théâtre national de chaillot,danse contemporaineD’abord il y a Alexander Ekman. Après avoir transformé le Théâtre des Champs-Elysées en un Lac des Cygnes profond de 20 cm d’eau en 2014 (« Swan lake »), le chorégraphe suédois a été définitivement adopté, en faisant jouer les danseurs de l’Opéra de Paris dans une marée de petites balles vertes dans la fosse du Palais Garnier en décembre 2017 avec « Play ». Le microcosme hype de la danse contemporaine éclairée avait été conquis, pourtant «Play» avait révélé une chorégraphie peut-être trop minimaliste (pour ne pas dire simpliste) comparé aux prouesses techniques et d’interprétation dont est capable le Ballet de l’Opéra de Paris… Pour « Fit », sur la scène de Chaillot l’histoire est tout à fait différente. Tout prend sens, la façon de décortiquer le mouvement, cet humour élégant, cet enthousiasmant sens ludique de la mise en scène et cet esthétisme ravageur, jusqu’à ces costumes fondus sous d’élégantes vestes noir soutenues par des jupons de tulles pour un ensemble non genré.

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  • Jusqu'au 17 juin, « Mother’s milk » de la « Kibbutz contemporary dance company » au Théâtre de Paris

    KIBBUTZ JPEG.jpgLe rendez-vous est pris. Désormais, la scène du Théâtre de Paris s’ouvrira à la danse chaque fin de saison.

    Jusqu’au 17 juin, la Kibbutz Contemporary Dance Company (KCDC) offre le ballet Mother's Milk.

    La compagnie israelienne fut fondée en 1970 par Yehudit Arnon (1926-2013), survivante des camps nazis. En 1996, elle confie la direction de la compagnie a un de ses premiers élèves du Kibbutz Ga’aton, le chorégraphe Rami Be'er.

    Mother’s Milk est un hommage aux parents du directeur et chorégraphe de la KCDC. Ils ont disparu il y a deux ans, ils étaient des survivants de l'Holocauste.

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  • Suresnes Cité Danse : Happy Hip Hop party !

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    Quand une salle de spectacle porte le nom de Jean Vilar, il faut s’attendre à découvrir un lieu qui témoigne de l’idée de rendre toutes formes de performances, créations ou diffusions artistiques, accessibles au plus grand nombre. Avec «Suresnes Cité Danse» qui célèbre ici ses vingts ans de bons et loyaux services, Olivier Meyer, instigateur de l’évènement et maître des lieux, a relevé et tenu le pari.

    La soirée anniversaire du jeudi 12 janvier 2012 présentait un florilège de ce qui se fait de mieux en matière de Hip-Hop. Avouons le, le terrain était neutre, réceptif, sain et à l'affût de la moindre découverte : en matière de Hip-Hop je ne connaissais rien... Ce temps imparfait est justement utilisé, je ne connaissais rien mais aujourd'hui je sais, je sais qu’il existe un univers autre, un affluent tortueux trace ses lignes près du large fleuve de la création chorégraphique contemporaine. Ces dernières années, par petites touches, j'ai approché les programmations de Suresnes et de la MC 93 de Bobigny, des rencontres étonnantes comme celle de Découflé, je savais que loin des ballets contemporains ou classiques du très renommé Opéra de Paris, et des créations des centres chorégraphiques des somptueux Mats Ek, Pejlocaj ou Pina Baush, et encore plus loin de la descente aux enfers des comédies musicales du Palais des Sports où des chorégraphes pitoyables célébrés par les biens vulgaires chaînes de télévisions en particulier une, je savais que, quelque part, il y avait autre chose...

    Lydie Alberto, Céline Lefèvre, B-Boy Junior, Farid Berki, Amala Dianor, Doug Elkins, Fish, Mehdi Ouachek et Storm sont apparus pour délier sur scène une déferlante de mouvements, de performances physiques et des tas d’histoires à raconter, soutenus par les chorégraphies de Kader Attou, Sylvain Groud, Sébastien Lefrançois, Mourad Merzouki et José Montalvo. 

    suresnes cité danse,laurence caron-spokojny,hip-hop,danseLa deuxième partie, plus attendue mais pas du tout convenue, orchestrée par le formidable inventeur de grâce José Montalvo, accueille les 30 chanteurs du jeune Choeur de Paris et les danseurs Lara Carvalho, Farrah Elmaskini, Julia Flot, Alfréda Nabo, Abdoulaye Barry, Simhamed Benhalima, Kevin Mischel, Nabil Ouelhadj : un mélange des genres fluide tenu par une exigence artistique égale.

    Farid Berki, Monica Casadei, Blanca Li, Jérémie Bélingard, Sylvain Groud, Abou Lagraa, Laura Scozzi, Pierre Rigal, Robyn Orlin et Angelin Preljocaj sont invités pour la suite de ces découvertes. Je vous invite à découvrir la programmation dans son intégralité sur le site du Théâtre de Suresnes.

    Ici, la rue raisonne et s'épanouie sur les murs comme dans un tableau de Jean-Michel Basquiat. La danse s'esquisse comme un coup de pinceau et la vidéo vient comme un collage donner une épaisseur indispensable à la sénographie. Une forme d’art urbain «authentique», même si je n’aime pas utiliser ce qualificatif d’ «authentique», cela peut sous entendre que l’art peut ne pas l’être : ce qui paraît  absurde. Alors tout simplement il s’agit d’art, à sa place, tout à son aise, avec une très haute qualité technique et artistique, et, en tout point avec le pouvoir de divertir.

    Laurence Caron-Spokojny

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  • Trisha Brown, sophisticated lady

    C’était hier soir, ma première fois. J’ai découvert les chorégraphies de Trisha Brown sur la scène du Théâtre National de Chaillot. Etrangement, je n’avais jamais rien vu de son travail «dans les conditions du direct». Ainsi, j’étais en alerte. Les photographies, quelques vidéos, et sa renommée de grande prêtresse post-modern de la danse américaine, ont éveillé mon appétit d’amatrice de danse contemporaine.

    Fidèle à mes habitudes, je n’ai rien lu en amont : ni programme, ni flyer et encore moins de dossier-presse. Enthousiaste, je me suis installée, dans les gradins verticaux de Chaillot, intacte, quasi pure...

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    «Ne regardez pas ce que vous faites, faites-le !»

    La soirée commence par un solo Watermotor datant de 1978. Les membres se délient, élancés, avec une grande vélocité. Il y a quelque chose de Twyla Tharp, un petit coup de hanche, le torse qui se déroule et les bras qui s'envolent, c'est un peu pop, un peu jazz, sauf que la musique de Paul Simon ne démarre pas. Les gestes sont beaux, le danseur se noue et se dénoue, l’épuisement du danseur est perceptible... Déjà, je redouble de concentration, je ne suis pas très à l'aise, pas vraiment d'émotion, cela me manque. La performance est applaudi, c'est un soir de première.

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    Deux oiseaux on imagine, plutôt deux danseuses, suspendues à des fils invisibles traversent l’espace scénique. Les cintres deviennent maîtres d’enchaînements savants. Sur un dessin de Trisha Brown exposé en toile de fond, il y a beaucoup de poésie, la légèreté gagne le public et nous rions des facéties de ces voyageuses aériennes. Voici la fameuse première européenne, Les Yeux dans l’Ame, inspirée des parties dansées de l’opéra Pygmalion de Rameau mis en scène en 2010 par Trisha Brown. Sauf que la musique baroque pour accompagner la danse contemporaine, je crois que j'en ai assez soupé. Nos oiseaux se sont définitivement envolés et les pas de deux s'enchaînent, répétitifs, et puis, à nouveau, compliqués, tortueux, toujours très esthétiques, mais trop... En fait, j'aurai préféré continuer à voler car il y a là une matière que l'on souhaiterait que la chorégraphe explore encore et encore.

     

    Opal loud/ Cloud Installation, crée en 1980, l’oeuvre inscrit le travail de la chorégraphe dans une modernité absolue en liant son travail avec le plasticien Fujiko Najaka. Un nuage de vapeur d’eau modèle les gestes élégants des danseurs, le rythme sonore est marqué par les mouvements de la machine, l'univers est onirique, mais moi je ne rêve pas. La pièce me semble longue... Je suis très agacée de ne pas être touchée parce ce que je vois.

     

    « ... explorer et développer des idées autour de la sculpture, de la calligraphie et de corps noués. Les danseurs manipulent une personne passive pour lui donner la forme d’un noeud et déplacent cette masse sculpturale ailleurs » 

    I’m going to toss my arms ; if you catch them, they’re yours est la création tant attendue, celle qui crée l'émulation autour de l'ouverture de saison, de la très raffinée programmation, du Théâtre National de Chaillot. Des ventilateurs sont installés côté jardin et donnent, par leur rondeur, une idée assez sensuelle de l'intention chorégraphique (pour le public, la fraîcheur apportée par les machines est la bienvenue). Pour la scénographie et le concept sonore, Trisha Brown a rallié Burt Barr, son compagnon dans la vie. Les danseurs entament des élans multiples, parfois contradictoires, ils attrapent l'air, l'abstraction continue a règner. 
    «Trop de notes, Mozart » aurait dit Joseph II, j'oserais dire "trop de mouvements", la complexité de l'écriture chorégraphique semble bien loin de la volonté de dépouillement des Forsythe, Prejlocaj, Baush et Mats Ek, qui me plaisent tantSans aucun doute, l'ensemble des arts visuels anime Trisha Brown dans sa démarche artistique, elle crée sa danse par autant de coups de pinceaux qu'un impressionniste. Son travail semble animé par une recherche de la perfection, tout répond à une norme esthétique irréprochable, comme ces accompagnements sonores et ces costumes légers aux couleurs justes. Et pourtant, je reste perplexe... je crois que la notion de "concept" a empêché mon émotion de naître. 

    Hier soir, il n'y a pas eu de standing ovation, c'était une création ...

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    Trisha Brown comptabilise aujourd'hui plus de quatre-vingt dix pièces à son répertoire, elle se produit dans le monde entier et est reconnue pour son œuvre visuelle - Dokumenta de Kassel en 2007. De nombreuses expositions lui sont régulièrement consacrées. J'ai découvert qu'elle collabore avec Rauschenberg dont j'admire particulièrement l'oeuvre.

    Laurence Caron-Spokojny

     

    Du 5 au 14 octobre 2011 au  Théâtre National de Chaillot

    Rendez-vous sur le site de La Compagnie Trisha Brown, les photographies sont somptueuses. 

     

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