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  • "Qui a peur de Virginia Woolf ?" au Théâtre de l'Oeuvre

    daniel loayza,pierre-françois garel,julia faure,alain françon,théâtre de l'oeuvre,dominique valadié,wladimir ordanoff,edward albee,qui a peur de virginia woolfMartha est la fille du Président de l’Université, elle est mariée à George depuis plus de vingt ans, il est professeur d’histoire.
    La soirée est déjà bien avancée, Martha invite un jeune couple insignifiant, Honey et Nick, rencontré quelques heures plus tôt. Martha et George entament une dispute d’une violence inouïe : reproches, mensonges et vérités se libèrent par l'effet de l'alcool ; Honey et Nick se révèlent aussi bien différents...

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  • WE ARE BOWIE par le photographe Guillaume Bounaud

    Nous sommes tous Bowie, depuis ce lundi 11 janvier 2016, un peu perdus, presque orphelins. 

    En 1983, j'écoutais "Let's dance" sur mon walk-man. Lors de petites vacances chez mon oncle à côté de Biarritz, j'ai fouillé dans ses disques et j'ai découvert l'album "Rare" (1982. RCA). Je l'ai gardé avec moi, tout contre moi, et j'ai usé les sillons du somptueux "Amsterdam" (Brel/Shuman) en me demandant comment était-il possible qu'un chanteur anglais puisse avoir l'audace de se frotter à Brel ?
    Une douzaine d'années plus tard, il y a eu des concerts mais surtout ce show-case à l'amphithéâtre de l'Opéra Bastille, nous étions peut-être 200, une ambiance plutôt intime : 30 minutes de concert, pas une de plus, si proche, c'était dingue ! En fait, je crois que je n'ai rien écouté, trop préoccupée à renifler sa présence...

    Ces derniers jours, les témoignages des fans de Bowie parcourent la toile, les images, nos lectures et les ondes. Et puis, il y a des histoires d'amour aussi, des vrais, des histoires pour lesquelles les fans ont investi une partie de leur vie et leur talent. WE ARE BOWIE, la réalisation photographique de Guillaume Bounaud, est de cette trempe. 

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    Family by Guillaume Bounaud

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  • "DUEL, opus 2" au Théâtre du Palais-Royal, dès le 5 février et jusqu'au 15 avril 2016

    laurent cirade,paul staicu,théâtre du palais-royal,duel,duel opus 2,violoncelle,piano,spokojny consulting,agnès bouryRaymond Devos disait : « Le rire est une chose sérieuse ! », le violoncelliste Laurent Cirade, et, le pianiste Paul Staïcu ne sauraient contredire la maxime du Maître de la dérision. Les intrépides virtuoses se sont libérés d’une technique, déjà éprouvée sur les bancs des conservatoires, orchestres prestigieux et en tant que soliste, pour créer « Duel ».

    En interprétations loufoques, délicates espiègleries, digressions délirantes, et intentions théâtrales, les musiciens débridés traversent un répertoire coloré : jazzy, rock, populaire ou classique ; toutes les musiques se confrontent, à la fois aux insolentes cordes du violoncelle, aux tendres touches du piano et autres instruments surprenants (scie, fil de pêche, didgeridoo,…). 

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  • Pégase et Icare, le Cirque Alexis Gruss jusqu'au 6 mars 2016, Porte de Passy Paris 16.

    cirque alexis gruss,Au bord d’un des lacs du Bois de Boulogne, le plus pur des arts du spectacle s’exerce sur la scène circulaire d’Alexis Gruss.

    Nous sommes accueillis avec attention et gentillesse, les sourires clignotent, nous nous engouffrons dans la tiédeur du chapiteau comme dans un passage vers un ailleurs réconfortant. Les démonstrations équestres du spectacle précédent ont laissé un parfum d’écurie qui se mêle aux effluves des barbes à papas, pop-corn et autres plaisirs sucrés échappés des guinguettes colorées qui cernent l’entrée du public...

    Le ciel de toile est orné d’armatures brillantes aux entrelacements savants, le ton est à la mythologie, Pégase et Icare promettent de se partager la vedette. 

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  • Singin'in the rain au Théâtre du Châtelet jusqu'au 15 janvier 2016

    C'était en mars 2015 au Châtelet et c'est à nouveau à l'affiche jusqu'au 15 janvier 2016 : attention chef-d'oeuvre !

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    Le magicien - Ma première fois c’était en 1993 au Grand Théâtre de Bordeaux pour Les Noces de Figaro. William Christie dirigeait la musique, et, Robert Carsen architecturait l’espace. Ce soir là, je découvrais qu’il était donc possible de faire traverser la lumière du jour jusqu’à la scène d’un théâtre ? Une autre dimension s’ouvrait… Ce fut un éblouissement, à tel point que mon regard sur les choses de l’éphémère changea définitivement.

    Robert Carsen, le metteur en scène canadien, est capable de ça et de bien d’autres choses. Que ce soit pour Disneyland (Buffalo Bill’s Wild West Show), pour les plus grands opéras, le théâtre ou pour des scénographies d’expositions (L’Impressionnisme et la Mode, Musée d’Orsay 2012), Robert Carsen est un illusionniste.

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  • "J'avais un beau ballon rouge " au Théâtre de l'Atelier

    angela demattè,michel didym,richard bohringer,romane bohringer,théâtre de l'atelierJ’aurai bien aimé que Romane Bohringer soit mon amie. D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours eu cette drôle d’impression. Cela doit être un truc de fan, une sensation familière et un peu irrationnelle. 
    Ce soir-là, chacune à notre place, elle, sur scène, et moi, dans les rangs des spectateurs, nous avons rendez-vous au cœur de Montmartre, là où le fantôme de Charles Dullin hante encore les cintres, dans le très précieux Théâtre de l’Atelier.

    Pour la pièce « J’avais un beau ballon rouge », Romane Bohringer est aux côtés de son père Richard Bohringer, c’est une première fois. Troublant. 

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  • "Norman sur scène" au Palace

    norman thavaux,kader aoun,noman hosni,le palaceNorman au Palace, c’était vendredi 13 novembre, rue du faubourg Montmartre. À la sortie du spectacle, encore ignorants des évènements mais affolés par la tension de la rue et des messages ahurissants reçus sur mon téléphone, nous nous sommes engouffrés dans le dernier métro de la soirée, préssés de retrouver nos proches. J’ai mis du temps à repenser à « cet avant ». Pourtant, voici un très joli souvenir de spectacle, il ne sera pas le dernier !

    Je lui avais promis. Cela faisait près d’un an que mon fils de 11 ans insistait pour aller voir le one-man-show de Norman. Prenant un air concerné, j’écoutais sa demande, je prenais soin de la ranger bien haut sur l’étagère « on verra plus tard ». Seulement, les garçons se sont acharnés : l’un a multiplié les succès, en province et à Paris, en comptabilisant plus de 200 000 spectateurs venus assister à son spectacle, et l’autre, attentif à la progression de son idole absolue, a recouvert toutes les surfaces visibles de l’appartement (porte, frigo, bureau,...) par des post-it : « penser places Norman », « Norman à Bobino », « Norman à la Cigale »… prose remplacée petit à petit par des « Norman avec des cœurs », puis par un « Merci Maman, je t’aime » subrepticement glissé sous l’oreiller. Impossible de me défiler.

     

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  • « Résiste » au Palais des Sports, la comédie musicale de France Gall et Bruck Dawit

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    En réponse à l’envie -irrésistible- de France Gall, l’habileté musicale de Bruck Dawit, et sous la houlette du producteur Thierry Suc, la comédie musicale «Résiste» illustre quelques compositions choisies de Michel Berger au Palais des Sports.

    Rallongé à grandes cuillerées d’eau de rose, le propos n’a pas grande importance : deux filles et leur père tiennent une boîte de nuit le Lola’s (impossible de ne pas penser au bar de Starmania), il y a des gentils et mauvais garçons (Ziggy ?), des péripéties peu palpitantes, une jeunesse qui se cherche (encore), et en filigrane une grand-mère (France Gall) qui raconte une histoire à sa petite fille… L’intérêt n’est pas là, même si pour tenir ce livret Laurent Hennequin (le père) fait preuve d’un charisme et d’un jeu tout à fait digne des scènes des meilleurs Théâtres. Le mérite de «Résiste» est surtout d’avoir évité les travers du biopic, un exercice souvent casse-gueule qui la plupart du temps égratigne l’image d’un artiste. Pour cette fois, l’intelligence est d’avoir confié les compositions de Michel Berger à de très jeunes chanteurs et danseurs. L’effet est saisissant !

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  • Cats d'Andrew Lloyd Webber, au Théâtre Mogador

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    Pour un bon nombre de comédies musicales, les chorégraphies sont décoratives, elles s’esquissent très simplement, en ensembles ou duos, afin de laisser les chanteurs et comédiens s'exprimer (Chorus Line). Pour d’autres c’est l’inverse, la danse est privilégiée et les premiers rôles sont aussi essentiellement chantés (West side story). Et puis, il y a des comédies musicales très exigeantes qui imposent aux artistes d’être à la fois d’excellents chanteurs et d’excellents danseurs (Un Américain à Paris). La comédie musicale Cats d’Andrew Lloyd Webber est de ce registre. 

    CATS est une œuvre à part entière, chorégraphique, musicale mais aussi picturale, de nombreux coups de griffes sont nécessaires pour faire naître la Jellicle-shère (Félinosphère pour les initiés).

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  • Picasso.mania au Grand Palais jusqu’au 29 février 2016 : l'inspiration suprême !

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    Le nom de Pablo Picasso est entré dans le vocabulaire pour désigner communément un génie. Génial, il l’a été, et génial, il continue de l’être. L’inspiration du Maître est contagieuse, du cubisme au pop art jusqu’au cinéma, les courants et les disciplines artistiques se sont imprégnés de l'oeuvre entière de Pablo Picasso.

    A son époque, en très habile metteur en scène de sa propre vie, le fascinant Artiste a tissé la trame culturelle du XXième siècle par son œuvre, mais aussi par ses idéaux politiques et sa recherche intellectuelle autant que par sa vie sentimentale et familiale. Millionnaire fantasque et artiste sincère, l'œuvre entière de Pablo Picasso l’a propulsé au rang de star multimédia bien avant l’heure. 
    Au Grand-Palais, l’exposition Picasso.mania témoigne de cet héritage inépuisable. L’insoumission constante, la créativité hors la toile, tout cela vibre dans le puissant portrait de Pei-Ming Yan (2009), c'est un Picasso vivant, un « homme concept », l'homme compte autant que son oeuvre, un talent extraordinaire hors frontières, hors matières, hors temps, qui s'étire jusqu’aux créations des vidéastes d'aujourd'hui (Tate Liverpool, Rineke Dijkstra 2009)...

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  • L'infaillible beauté du mouvement dessiné par Angelin Preljocaj dans «Retour à Berratham » au Théâtre National de Chaillot

    Angelin Preljocaj,Laurent Mauvignier,Retour à Berratham,Emma Gustafsson,Niels Schneider,Laurent Cazanave,Cécile Giovansili-Vissière,théâtre national de chaillot,Adel Abdessemed,Cette année, la création d’Angelin Preljocaj «Retour à Berratham» a été présentée dans la Cour d’Honneur du Palais des Papes du Festival d'Avignon. À son tour, le Théâtre National de Chaillot invite, jusqu’au 23 octobre, l‘œuvre tripartite du chorégraphe Angelin Preljocaj, de l’écrivain Laurent Mauvignier et du plasticien Adel Abdessemed.

    « L’histoire débute là où une pièce de guerre se terminerait », écrit Laurent Mauvignier. Aux yeux d’Angelin Preljocaj, il s’agit surtout d’une quête, celle de ce jeune homme qui revient à Berratham à la recherche de celle qu’il aime, Katja. Il ne reconnaît plus rien. Et en cherchant Katja, il se retourne sur son enfance, son passé. 

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  • "La chanson de l'éléphant" en tournée, le 9 octobre au Sel à Sèvres... à ne pas manquer

    "...La vidéo de Léonard et le décor très cinématographique de Sophie Jacob renforcent l'ambiance de thriller psychologique, la silhouette d'Alfred Hitchcock semble parfois se dessiner et les couloirs de l'hôpital psychiatrique de "Vol au dessus d'un nid de coucou" s'étirent derrière la porte..."

    Lire l'article ICI

    Le Sel, Sèvres.

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  • « Moins 2 » au Théâtre Hébertot : une chronique drôle et poignante de deux morts annoncées ; écrite par Samuel Benchetrit et interprétée par Guy Bedos et Philippe Magnan.

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    Deux hommes sont étendus sur les lits métalliques d’une salle de réanimation. Ils se réveillent, un médecin fait son entrée et annonce, d’une façon tout à fait décontractée, qu’ils n’ont plus que quelques jours à vivre. Espiègles et fatalistes, les deux hommes semblent avoir largement dépassé la soixantaine, ils décident de quitter l’hôpital pour s’éloigner de cette mort.

    C’est une lente dégringolade, deux hommes se dirigent vers la mort pour finalement partir à la rencontre de leur vie, malgré tout et malgré eux. Résignés, ils vont ensemble, unis par une amitié soudaine, modifier un peu le court de leur histoire. Le constat de ces deux vies s’avère grinçant, amer, acide, cynique… mais tellement drôle ! 

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  • Cyrano de Bergerac a l’âme musicale au Théâtre du Ranelagh

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    Le rôle ! Il est le plus jubilatoire, le plus lyrique, le plus fantasque mais aussi le plus casse-gueule. La verve d’Edmond Rostand n’a pas d’égal pour donner vie à Cyrano de Bergerac. La sincérité fait l'homme et le meilleur des hommes, fidèle, attentif, poète, tour à tour sombre et lumineux, drôle, bouillonnant et un brin soupe au lait juste ce qu’il faut pour attirer sur lui les flammes de ses adversaires si nécessaires à son besoin héroïque de se surpasser. Il est seul alors qu’ils sont cent, elle est belle alors qu’il est laid, toute l’empathie du monde se penche sur son cas. Il me semble que le chef d'oeuvre d'Edmond Rostand révèle une des parties les plus belles de notre Humanité. 

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  • La déclaration d’amour de Philippe Besson au Théâtre : « Un Tango au bord de la mer » au Petit-Montparnasse.

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    La première page d’amour écrite par Philippe Besson pour le Théâtre réunit deux hommes :  ils se sont aimés, peut-être s’aimeront-ils encore ? Au creux de la nuit, au bar d’un palace, au bord d’une mer inconnue, leurs vies se croisent à nouveau.
    Les murs noirs du théâtre se sont évanouis pour laisser s’ériger l'architecture d’un hôtel de luxe (pour moi ce sera celui de Mort à Venise, mais vous avez le choix), le beau et le commun, l’amour et la passion, les regrets et les remords partagent une bouteille de vodka. Lui (Jean-Pierre Bouvier) a cinquante ans, il est un auteur célèbre, esthète, l’Autre (Frédéric Nyssen) a trente ans, il est un insouciant, insolent.

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  • « Les Voisins » au Poche-Montparnasse : des scènes de la vie ordinaire pour une pièce tout à fait extraordinaire !

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    « Ils s’appellent Laheu et Blason. Ils habitent deux maisons jumelles, ce dernier avec sa fille, l'autre avec son fils. Les deux maisons ont une terrasse commune. Un lien de voisinage, quand ça s’y met, on ne fait pas plus fort ; comme attache, c’est plus fort que le mariage, que l’amitié ou l’amour-passion ; et puis c’est autre chose.
    Il semble que rien ne puisse leur arriver, tellement ils sont bien calés dans leur microcosme, tous les quatre. Et puis il leur en arrive des masses. Le monde extérieur leur tombe dessus. C’est un tourbillon, une tempête qui dévaste, arrache tout, qui dresse les deux bonshommes l’un contre l’autre dans un égarement sans nom ; Alice et Ulysse, leurs enfants, on pourrait dire qu’ils s’accrochent, comme à un bout d’épave : s’engloutiront-ils ?
    Et puis, qui aurait pu le prévoir ? Le microcosme se recompose, le lien de voisinage se reforme, décidément il y a là quelque chose qui est plus fort que tout. Il suffit de dire ça et voilà qu’une nouvelle tornade... mais les choses cette fois tournent autrement. » 
    Michel Vinaver.

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  • Une histoire commence...

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  • Des stars à l'affiche du Théâtre Hébertot dans "Victor" d'Henri Bernstein

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     En 1950, Victor (Grégory GADEBOIS) sort de prison. Il a accepté de purger une peine en lieu et place de son ami Marc (Eric Cantona), héros de guerre, désormais homme d'affaires brillant et indélicat, par amour pour Françoise (Caroline Silhol), la femme de Marc.
    L'amitié virile, le grand amour, l'argent brûlant vont précipiter ce trio charismatique dans une ronde à perdre haleine, orchestrée 
par le dramaturge français Henri Bernstein (1876-1953) au sein de cette France de l'après-guerre vivante et meurtrie. 
     

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