"Réparer les vivants" au Petit Saint-Martin
Envisager l’adaptation, la mise en scène et l’interprétation d’un « seul en scène » issu d’un roman -qui a été unanimement salué par la critique et qui a raflé près d’une dizaine de prix littéraires- pourrait-être considéré comme une chose gagnée d’avance ou au contraire très casse-gueule… Lorsqu’il s’agit de « Réparer les vivants », phrase empruntée à Tchekov dans Platonov, par Maylis de Kerangal pour titrer son roman : la tâche semble rude, complexe. Le sujet évoque une transplantation cardiaque, rien que ça !