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  • Jean Yanne est au Petit Montparnasse : "On n'arrête pas la connerie !"

    petit montparnasse,jean yanne,bruno membrey,éric laugérias,jean-françois vinciguerraLe titre évocateur de la pièce à sketches « On n’arrête pas la connerie ! », sur la toujours très surprenante scène du Petit Montparnasse, est plus que jamais d’actualité. Il est à croire que l’ambiance n’a pas tellement changé depuis… depuis plus de quarante ans. L'acidité de ce propos est à frémir de plaisir.

    Eric Laugerias, Jean-François Vinciguerra et Bruno Membrey s’engagent avec intelligence à faire revivre le bonhomme, ses mots, sa morgue, son talent et son univers extravagant. Jamais ridicules, toujours justes, les textes de Jean Yanne se racontent, se chantent et même se dansent dans un jeu très raffiné de la part de ces excellents interprètes. L'espace scénique et quelques inventions de décors et vidéos donnent corps au texte et soutiennent un travail extrêmement précis. Ainsi, la charge est lourde, Jean Yanne s’emploie à éclairer nos esprits sur l’époque et ses contemporains avec une virtuosité parfois psychédélique. Il est aisé de reconnaître l'inspiration du maître sur les humoristes d'aujourd'hui qui se multiplient sur les scènes et écrans.
    petit montparnasse,jean yanne,bruno membrey,éric laugérias,jean-françois vinciguerraJournaliste, humoriste, chanteur, romancier, amuseur, animateur, acteur, scénariste, organiste, producteur, provocateur, compositeur et réalisateur, Jean Yanne a mené une existence d’artiste entre contradictions et enseignements, il était à son insu, pour celui qui savait rire de tout, l’auteur du slogan de mai 68 : «Il est interdit d’interdire !». Le mal aimé, celui qui n’a pas toujours été bien compris, est entré dans le cercle des icônes du 20ème siècle, et il est à retrouver ou à découvrir dans une atmosphère de franche rigolade, et parfois poétique, qui laisse à réfléchir...

    Laurence Caron-Spokojny

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  • Rétrospective Lucio Fontana au Musée d’Art Moderne jusqu'au 24 août : sculpteur, peintre et spationaute…

    lucio-fontana_ce qui est remarquable.jpgTerrien malaxant la glaise, ou aérien lorsqu’il ouvre la toile d’une fente pour libérer un passage, Lucio Fontana (1899-1966) est enfin au Musée d’Art Moderne de Paris pour une rétrospective regroupant plus de deux cents oeuvres. La plupart des impressionnantes œuvres céramiques de l’artiste sont présentées pour la première fois en France.

    "...je me sens un homme libéré de l'esclavage de la matière, un homme qui appartient à l'étendue du présent et du futur."

    Pour ses œuvres picturales, il n’est pas question de déchirer la toile en résonnance à la déception rageuse de l’artiste mais plutôt de considérer que le support artistique n’a pas de limite. Le peintre façonne l’espace qui entoure la toile comme un compositeur qui marque les silences sur une partition de musique. 

    "J'ai réussi à donner à ceux qui regardaient mon travail un sentiment de calme spatial, de rigueur cosmique, de sérénité avec un regard vers l'infini. Plus loin que cela, je ne pourrai aller."

    Chercheur fou, Lucio Fontana expérimente et modélise de ses mains des morceaux d’étoiles oubliés, figure de proue du mouvement spatialiste, il explore différentes techniques jusqu’au prisme fluorescent du pop art. Cette liberté habite l’ensemble du travail de Lucio Fontana. Moderne absolu, sculpteur et peintre spatial, le dandy mi-italien, mi-argentin, donne une leçon créative qui se moque bien des étiquettes et qui sait en tout point s’échapper des carcans dictés par l’histoire de l’art et ses critiques.

    Laurence Caron-Spokojny 

    lucio fontana,musée d'art moderne
    Concetto spaziale, 1959

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  • « The King and I » au Théâtre du Châtelet jusqu’au 29 juin

    the king and i,lambert wilson,susan graham,jean-luc choplin,laurence caron-spokojnyJusqu’au 29 juin, le Théâtre du Châtelet dévoile les attraits de sa plus belle scène, celle créée et dédiée au théâtre musical, en proposant des oeuvres, mythiques ou rares. «The King and I» s’inspire des mémoires d’Anna Leonowens (1834-1915), une préceptrice anglaise partie éduquer les nombreux enfants du roi Mongkut (dit Rama IV) de Siam dans les années 1860.

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  • A suivre : Festival "June Events" jusqu'au 20 juin

    carolyn carlson36 représentations, 19 compagnies, 9 créations seront présentées dans 10 lieux à Paris. Un  témoignage de l’engagement de l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson auprès des artistes toute l’année. Le rapport danse-musique et l’ancrage dans des contextes politiques tourmentés guident la programmation de cette 8e édition.

    Avec : Danya Hammoud, Carolyn Carlson, Claire Croizé, Maud Le Pladec, Lenio Kaklea, Daniel Abreu, Orin Camus et Chloé Hernandez, Tomeo Vergés, Kubilai Khan Investigations, Rosalind Crisp, Benoît Lachambre, DD Dorvillier, Juha Marsalo, David Rolland, Khouloud Yassine…

    Télécharger la brochure, ici.

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  • Exposition de photographies de Francette Levieux, «Noureev, L’Insoumis», une exposition qui se dévore comme un roman...

    L’image, d’un danseur en pleine expression de son art, reproduite par la photographie, exige une précision encore plus importante que pour celle d'un acteur, l'exercice est millimétré, presque scientifique. Chaque détail compte, le pied, la main, la cambrure ou l’arabesque doivent se présenter sous leurs meilleurs angles afin de supporter d’être figés sur le papier ; comme s’il était possible d’arrêter le mouvement ? Cet art là, cette indéfinissable maîtrise du temps, la photographe Francette Levieux en fait son affaire.

    laurence caron-spokojny,francette levieux,rudolf noureev,ariane dollfusPendant plusieurs années, photographe de l’Opéra national de Paris, Francette Levieux a suivi, pas à pas, des trajectoires célestes comme celles de Roland Petit, Maurice Béjart, Noëlla Pontois, Patrick Dupond, Alvin Ailey, Luis Falco, Claude de Vulpian ou encore Vladimir Vassiliev… Discrète comme une petite souris lorsqu’elle se faufilait dans les coulisses de l’Opéra Garnier, Francette Levieux aimait être tout près des danseurs, juste sur la scène. Lorsque Rudolf Noureev dansait, il renvoyait la photographe se placer dans la salle, il ne souhaitait personne sur le plateau : « No photo on stage ! » ; en revanche, dès que d’autres dansaient, il venait s’asseoir auprès de Francette, sur le plateau, côté cour ou côté jardin, silencieusement et certainement très reconnaissant du choix de la photographe : la meilleure place pour saisir l’instant.

    « La vie est trop courte. Je suis libre, je fais ce que je veux » Rudolf Noureev.

    Des dizaines de clichés pris entre 1971 et 1984 couvrent les murs, Rudolf Noureev en solo ou accompagné des plus belles étoiles offre des regards profonds, des sourires flamboyants, une sorte de voracité. « L’Insoumis » dévore le papier argentique. Une intense joie de danser s’exprime, la danse et sa technique, si difficile, si sophistiquée, sont oubliées instantanément. Rudolf Noureev se jette dans le vide sur le fond noir des cintres, il est faune, corsaire, prince ou don Quichotte, et son art ne fait oublier l’humain dans aucune de ses intentions artistiques. Avec un œil affuté et bienveillant, Francette Levieux photographie l’artiste tout entier, dépassant les frontières de la discipline qu’il s’est choisi, elle se charge de fixer l’émotion toute entière dans un instant plus court qu’un souffle.
    La photographe ne parle pas de « technique photographique », elle semble plutôt parler « d’amour », elle considère son art, non pas comme un travail, mais comme une passion, une relation de confiance s’établie entre elle et le danseur, absolue. Encore aujourd’hui, Francette Levieux est parfois seule à être conviée au plus grandes rencontres chorégraphiques, comme ce fut le cas auprès de Manuel Legris au Palais des Congrés en mars dernier.

    laurence caron-spokojny,francette levieux,rudolf noureev,ariane dollfusAriane Dollfus est commissaire de l’exposition, pour enrichir et varier les plaisirs de cette exposition, la journaliste a rassemblé des documents rares, issus de collections privées ou d’archives personnelles (Fondation Noureev au Centre National de la danse de Pantin, Cercle des Amis de Rudolf Noureev) : les quelques écrits (articles de presse et autres) se lisent avec fièvre comme les pages d'un roman de Dostoïevski ou de Tolstoï, quelques objets, témoins ultimes, comme ces chaussons usés par le travail du danseur, ou cette partition annotée de sa main, peuvent rivaliser avec des œuvres d’art tant leur portée émotionnelle est forte. Le goût pour la liberté, l’audace, les excès, le courage et le talent de Rudolf Noureev sont transmis ici, avec simplicité, et font naître l’envie irrésistible (si ce n’est déjà fait) de se plonger dans l’exact portait dessiné par Ariane Dollfus dans son livre  « Noureev, l’Insoumis ».

    Laurence Caron-Spokojny

    - Exposition des photos de Francette Levieux, jusqu'au 9 juillet, à la Mairie du 17ème - 16/20, rue des Batignolles 75017 Paris
    . 6 juin à 19 h 30 : spectacle chanté et dansé par la Cie Arian’Art et le chœur préparatoire Sotto Voce.
    . 11 juin à 19 h 30 : conférence d’Ariane Dollfus sur la vie et l’art de Noureev, enrichie d’extraits filmés, avec la participation des élèves de l’European Dance Center Paris Jennifer Goubé. Dédicace.
    . 12 juin à 15 h : « Don Quichotte », projection du film réalisé et interprété par Noureev.

    - Biographie « Noureev, l’Insoumis » d’Ariane Dollfus Ed. Flammarion, 400 p., 24 €

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  • La 26ème Nuit des Molières, ce lundi 2 Juin 2014 : au Théâtre des Folies Bergère et retransmise sur France 2 à 22h15

    Des oubliés ou des éternels, des choix étranges ou évidents, de la passion ou du dégoût, du privé ou du subventionné, de la découverte un peu ancienne ou des anciens que l'on découvre, côté cour ou côté jardin, de l'orgueil ou de la modestie, du moderne ou du classique, des silences savants ou des portes qui claquent, des intermittents râleurs ou des directeurs mécontents, des metteurs en scène engagés ou de belles comédiennes émouvantes, du jour ou de la nuit, du beau ou du laid, de la fantaisie ou de la rigueur, des théâtres vendus ou rachetés, de la tendresse ou de la violence, des acteurs devenus comédiens ou bien l'inverse, des fauteuils élimés ou flamboyants de rouge, des jeunes ou des vieux, des déclarations d'amour ou de guerre, de la simplicité ou de la sophistication, des passerelles ou des entraves, des théâtres à l'italienne ou des maisons de la culture, des critiques enflammées ou dédaigneuses, de l'orchestre ou du paradis... Justes ou parodiques reflets de nos vies, ainsi vibrent ou grincent les planches de nos théâtres. 

    Quel bonheur de retrouver ce soir la très nécessaire cérémonie des MOLIERES orchestrée par Nicolas Bedos. Allez les artistes, en scène ! 

     Laurence Caron

    les molières 2014NOMINATIONS 2014 :

     

    Molière du Théâtre Public
    Chapitres de la Chute – Saga des Lehman Brothers de Stefano Massini, mise en scène Arnaud Meunier – La Comédie de Saint-Etienne
    Germinal de et mise en scène Antoine Defoort et Halory Goerger. L’Amicale de production – Lille 
    Invisibles de et mise en scène Nasser Djemaï. MC2 – Maison de la Culture de Grenoble 
    Paroles gelées d’après François Rabelais, mise en scène Jean Bellorini. TNT - Théâtre National de Toulouse Midi-Pyrénées

     

    Molière du Théâtre Privé
    Le Cercle des Illusionnistes de et mise en scène Alexis Michalik – La Pépinière Théâtre 
    Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes, mise en scène Anne Kessler – Théâtre Hébertot 
    Le Père de Florian Zeller, mise en scène Ladislas Chollat – Théâtre Hébertot 
    Le Porteur d’histoire de et mise en scène Alexis Michalik – Studio des Champs-Elysées 

    Molière de la Comédie
    Dernier coup de ciseaux de Paul Pörtner, mise en scène Sébastien Azzopardi – Théâtre des Mathurins 
    Le Fils du Comique de Pierre Palmade, mise en scène Agnès Boury – Théâtre Saint-Georges
    Hier est un autre jour ! de Sylvain Meyniac et Jean-François Cros, mise en scène Eric Civanyan – Théâtre des Bouffes parisiens
    Nina d’André Roussin, mise en scène Bernard Murat – Théâtre Edouard VII

    Molière du Théâtre Musical
    La Belle et la Bête, livret Linda Woolverton, musique Alan Menken, mise en scène Glenn Casale. Théâtre Mogador 
    Le Crocodile trompeur / Didon et Enée d’après l’opéra d’Henry Purcell et d’autres matériaux, mise en scène Samuel Achache et Jeanne Candel, direction musicale Florent Hubert. Théâtre des Bouffes du Nord 
    Framboise Frivole – Delicatissimo de Peter Hens, Bart Van Caenegem. Théâtre des Bouffes Parisiens
    Ménélas Rebétiko rapsodie de et mise en scène Simon Abkarian. Cie Tera / Le Ksamka

    Molière du Comédien dans un spectacle de théâtre public
    Nicolas Bouchaud dans Le Misanthrope de Molière, mise en scène Jean-François Sivadier
    Olivier Martin-Salvan dans Pantagruel de Benjamin Lazar et Olivier Martin-Salvan, mise en scène Benjamin Lazar
    Stanislas Nordey dans Par les Villages de Peter Handke, mise en scène Stanislas Nordey
    Philippe Torreton dans Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand, mise en scène Dominique Pitoiset

    Molière du Comédien dans un spectacle de théâtre privé
    Daniel Auteuil dans Nos Femmes d’Eric Assous, mise en scène Richard Berry

    Clovis Cornillac dans La Contrebasse de Patrick Süskind, mise en scène Daniel Benoin
    Michel Fau dans Le Misanthrope de Molière, mise en scène Michel Fau
    Robert Hirsch dans Le Père de Florian Zeller, mise en scène Ladislas Chollat 

    Molière de la Comédienne dans un spectacle de théâtre public
    Valérie Dréville dans Les Revenants d’après Henrik Ibsen, mise en scène Thomas Ostermeier
    Cécile Garcia-Fogel dans Les Serments indiscrets de Marivaux, mise en scène Christophe Rauck
    Anouk Grinberg dans Molly Bloom d’après James Joyce, mise en scène Blandine Masson, Marc Paquien
    Isabelle Huppert dans Les Fausses confidences de Marivaux, mise en scène Luc Bondy

    Molière de la Comédienne dans un spectacle de théâtre privé
    Emmanuelle Devos dans La Porte à côté de Fabrice Roger-Lacan, mise en scène Bernard Murat
    Isabelle Gélinas dans Le Père de Florian Zeller, mise en scène Ladislas Chollat
    Agnès Jaoui dans Les Uns sur les Autres de Léonore Confino, mise en scène Catherine Schaub
    Valérie Lemercier dans Un temps de chien de Brigitte Buc, mise en scène Jean Bouchaud

    Molière du Comédien dans un second rôle

    John Arnold dans Perturbation d’après Thomas Bernhard, mise en scène Krystian Lupa
    David Ayala dans Le dernier jour du jeûne de et mise en scène Simon Abkarian
    Patrick Catalifo dans Un temps de chien de Brigitte Buc, mise en scène Jean Bouchaud
    Manuel Le Lièvre dans Le conte d’hiver de William Shakespeare, mise en scène Patrick Pineau
    Davy Sardou dans L’Affrontement de Bill C. Davis, mise en scène Steve Suissa 
    Stéphan Wojtowicz dans Un singe en hiver d’Antoine Blondin, mise en scène Stéphane Hillel

    Molière de la Comédienne dans un second rôle

    Marie-Julie Baup dans Divina de Jean Robert-Charrier, mise en scène Nicolas Briançon
    Christine Bonnard dans La Chanson de l’éléphant de Nicolas Billon, mise en scène Bruno Dupuis
    Françoise Fabian dans Tartuffe de Molière, mise en scène Luc Bondy 
    Valérie Mairesse dans Roméo & Juliette de William Shakespeare, mise en scène Nicolas Briançon 
    Bulle Ogier dans Les Fausses confidences de Marivaux, mise en scène Luc Bondy
    Isabelle Sadoyan dans L’Origine du monde de Sébastien Thiery, mise en scène Jean-Michel Ribes

    Molière du Metteur en scène d’un spectacle de théâtre public 
    Philippe Adrien pour L’École des femmes 
    Jean Bellorini pour Paroles Gelées et La Bonne âme du Se-Tchouan 
    Nasser Djemaï pour Invisibles 
    Jean-François Sivadier pour Le Misanthrope

    Molière du Metteur en scène d’un spectacle de théâtre privé 
    Ladislas Chollat pour Le Père
    Jean-Christophe Dollé, Clotilde Morgiève pour Mangez-le si vous voulez
    Michel Fau pour Le Misanthrope
    Alexis Michalik pour Le porteur d’histoire et Le cercle des Illusionnistes 

    Molière de l’Auteur francophone vivant
    Simon Abkarian pour Le Dernier jour du jeûne 
    Léonore Confino pour Ring 
    Nasser Djemaï pour Invisibles 
    Alexis Michalik pour Le Porteur d’histoire et Le Cercle des Illusionnistes 
    Joël Pommerat pour Les Marchands 
    Florian Zeller pour Le Père 

    Molière de la Révélation féminine 
    Jeanne Arenes dans Le Cercle des Illusionnistes de et mise en scène Alexis Michalik
    Anne-Elisabeth Blateau dans Le fils du comique de Pierre Palmade, mise en scène Agnès Boury 
    Marion Malenfant dans Norma Jean de Joyce Carol Oates, mise en scène John Arnold
    Hélène Viviès dans En travaux de et mise en scène Pauline Sales

    Molière de la Révélation masculine 
    Grégori Baquet dans Un obus dans le cœur de Wajdi Mouawad, mise en scène Catherine Cohen
    François Deblock dans Paroles Gelées d’après François Rabelais, mise en scène Jean Bellorini
    Jean-Baptiste Maunier dans La Chanson de l’éléphant de Nicolas Billon, mise en scène Bruno Dupuis
    Niels Schneider dans Roméo & Juliette de William Shakespeare, mise en scène Nicolas Briançon

    Molière Seul(e) en scène
    Mikaël Chirinian dans La liste de mes envies de Grégoire Delacourt, mise en scène Anne Bouvier
    Fellag dans Petits chocs des civilisations de Fellag, mise en scène Marianne Epin
    Grégory Gadebois dans Des Fleurs pour Algernon de Daniel Keyes, mise en scène Anne Kessler
    François Morel dans La fin du monde est pour dimanche de François Morel, mise en scène Benjamin Guillard

    Molière de la Création Visuelle (Scénographie, Lumière, Costumes) 
    Le Cercle des illusionnistes de et mise en scène Alexis Michalik (Olivier Roset, Marion Rebmann, Pascal Sautelet)
    Mangez-le si vous voulez de Jean Teulé, mise en scène Jean-Christophe Dollé, Clotilde Morgiève (Adeline Caron, Nicolas Brisset, Caroline Gicquel)
    Ne m’oublie pas – Forget me not de Philippe Genty, mise en scène Philippe Genty et Mary Underwood (Philippe Genty, Vincent Renaudineau, Thierry Capéran, Annick Baudelin)
    Tabac rouge de et mise en scène James Thierrée (James Thierrée, Victoria Thierrée-Chaplin)  

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