Faire un roman à succès, puis une pièce de théâtre, c’est possible, encore faut-il être bien inspiré. Recette, sur la scène de La Pépinière Théâtre.
Installation sonore. D’abord il y a le choix du titre. La chanson. Mr. Bojangles composée et interprétée en 1968 par le musicien country Jerry Jeff Walker, et reprise en 1971 par Nina Simone. Mr. Bojangles cité dans le titre, cela sonne plutôt bien.
Décor. Le contexte esthétique est une époque révolue, à laquelle on associe automatiquement des images d’une vie légère et brillante. Les années folles sont idéales. Cette façade clinquante ne concerne qu’une poignée de privilégiés qui se précipitent en rangs serrés juste au bord de la crise de 29. Tout le tralala s’y engouffre, les voitures luxueuses, les appartements aux mises en scènes exotiques, les soirées desjantées, les meubles aux courbes dorées, les robes de Poiret, les séjours au bord de la mer. Un monde rutilant, résolument décadent. Ambiance Hemingway-Scott Fitzgerald, le duo est gagnant à coup sûr.













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Lors du festival d’Edimbourg en 1991, STOMP voit le jour sous l’impulsion de Luke Cresswell et Steve McNicholas. Après plus de 53 pays visités, à New-York depuis 22 ans et à Londres depuis 13 ans, cinq troupes se partagent le Monde et l’une d’elles est jusqu’au 24 décembre aux 





J’attendais ce moment avec une immense impatience. West Side Story à Paris. 



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