Deux jumeaux, Zanetto et Tonino, sont séparés à leur naissance : Zanetto est élevé dans la montagne, Tonino à Venise. Le premier est un crétin, le second un habile homme. Vingt ans après, le hasard les fait arriver en même temps à Vérone pour retrouver leurs dulcinées : chacun des deux ignore que son frère se trouve dans la ville, ce qui va créer une succession de quiproquos, de situations invraisemblables et loufoques propres à semer le désordre dans les esprits et le désarroi dans les cœurs. Duels, amours et désamours, fuites éplorées, intervention de la police, retrouvailles, emprisonnement…
ce qui est remarquable... un regard sur la culture pop - Page 6
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« Les jumeaux vénitiens » de Carlo Goldoni au Théâtre Hébertot
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West Side Story à La Seine Musicale
J’attendais ce moment avec une immense impatience. West Side Story à Paris.
En 2012 je l’avais loupé au Théâtre du Châtelet, je m’étais consolée avec les merveilleux « The King and I » et « Un Américain à Paris » en 2014, puis par le somptueux « Singin’in the rain » l’année suivante, toujours sous la très judicieuse direction artistique de Jean-Luc Choplin. -
"Mon Ange" au Théâtre Tristan Bernard
L’auteur contemporain Henry Naylor l’a écrit et le crie dans le monologue « Mon ange » au Théâtre Tristan Bernard. La très jeune et belle comédienne Lina El Arabi disparaît dans son personnage, une jeune fille syrienne qui choisit de résister face à Daech.
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"Réparer les vivants" au Petit Saint-Martin
Envisager l’adaptation, la mise en scène et l’interprétation d’un « seul en scène » issu d’un roman -qui a été unanimement salué par la critique et qui a raflé près d’une dizaine de prix littéraires- pourrait-être considéré comme une chose gagnée d’avance ou au contraire très casse-gueule… Lorsqu’il s’agit de « Réparer les vivants », phrase empruntée à Tchekov dans Platonov, par Maylis de Kerangal pour titrer son roman : la tâche semble rude, complexe. Le sujet évoque une transplantation cardiaque, rien que ça !
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Novecento au Théâtre Montparnasse
Au Théâtre Montparnasse, André Dussollier est épatant. Il ne danse pas, il joue un danseur. Il n’est pas musicien, il joue de la musique. En fait, il s’amuse tout le temps depuis le Conservatoire, en passant par la Comédie Française, André Dussollier s’éclate ! Passer sa vie à « jouer » c’est certainement la raison de ce regard qui pétille, ce sourire scotché, cette allure adolescente et cet entrain si communicatif.
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Solstice par la compagnie Blanca Li au Théâtre National de Chaillot, jusqu'au 13 octobre
Peut-être que Blanca Li a le même sentiment : la création chorégraphique a atteint ses limites. L’invention même du mouvement commence à se cogner aux quatre coins du corps humain, il est de plus en plus fréquent d’avoir cette sensation comme si l’histoire se répètait un peu trop souvent en matière de danse contemporaine… La chorégraphe Blanca Li est différente, elle part au delà du mouvement, ne craignant pas d’abolir les frontières entre les genres, elle permet à la danse contemporaine de franchir les obstacles élitistes dressés par les aficionados du genre : « Solstice » à Chaillot le démontre à nouveau.
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L’Avare par le Grenier de Babouchka au Théâtre le Ranelagh
Avec Cyrano et Le Cid, la troupe du Grenier de Babouchka nous a déjà régalé en ces lieux, pour cette fois il s’agit de l’Avare. Les pièces de Molière sont souvent jouées et reprises à toutes les sauces pourtant pour qui ne connaît pas les cinq actes, ou bien au contraire souhaite s'en délecter à nouveau, de cette comédie de caractère à la partition endiablée, cet Avare proposé au Théâtre le Ranelagh est idéal.
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L'exposition "Maria by Callas" jusqu'au 14 décembre à La Seine Musicale
La Seine Musicale s’inaugure en musiques, en spectacles et aussi en expositions : « Maria by Callas » est le premier opus, l’exposition se déroule jusqu’au 14 décembre.
Callas se conjugue au présent de l’indicatif, elle est partout, en tête de gondole des music-stores, en téléchargement illimité, warholisée, standardisée, starifiée, immortalisée, Maria Callas est à l’Opéra ce que Nefertiti est à l’Egypte antique. La somptueuse diva est en images photographiques et vidéos, en opéras et témoignages, elle est sur le devant de la scène autant que sur les couvertures des magazines. Quelques documents intimes, lettres d’amour ou films super 8, rapprochent les petites choses que nous sommes au plus près du Monstre Sacré dans toute sa vulnérabilité. L'exposition « Maria by Callas » est une émouvante interprétation de Maria Callas, comme une héroïne romantique absolue dont l’histoire et l’aura sont pourtant beaucoup plus vastes...
Pour en témoigner, voici une interview filmée de Janine Reiss qui fut son professeur de chant pendant 8 ans, interview réalisée par Jean-Luc Hees sur Radio-Classique. Je crois que Janine Reiss nous en dit beaucoup plus ... -
Somptueux "AU BUT" de Thomas Bernhard au Théâtre de Poche-Montparnasse, jusqu'au 5 novembre
Dominique Valadié a un port de reine, le regard perçant, une chevelure de lionne définitivement indomptable et une classe inouïe. Elle est notre Bette Davis française. Il est tout à fait autorisé de la comparer aux Monstres sacrés hollywoodiens. En 2016, elle avait fait autant peur de Virginia Woolf, au Théâtre de l’Oeuvre, que ne l’avait fait Elizabeth Taylor en son temps.
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CARO / JEUNET jusqu'au 31 juillet 2018 à la Halle Saint-Pierre
Au pied de la Butte Montmartre,
Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet sont chez eux. Le monticule grouillant surplombé de son gâteau crémeux leur doit bien ça depuis la naissance d’Amélie en 2001.
La Halle Saint-Pierre abrite ce qui est « brut », « singulier », et « outsider », Caro et Jeunet s’inscrivent là, les récompenses et les séjours Hollywoodiens ne paraissent pas avoir corrompus l’énergie créatrice des deux artistes. -
D.I.V.A au Théâtre Montparnasse
Pour se distinguer des tonnes de spectacles qui se chamaillent le public aux coins des rues de Paris, pour les pièces de théâtre, créations musicales et autres boulevards dits inédits : la tache est rude. Le public traîne le pas prétextant une fois la peur des attentats, une autres fois les élections ou bien encore l’indémodable « criiiiiiise »… Pourtant quand il s’agit d’un très bon spectacle, il n’y a pas à tergiverser : les salles sont combles. La loi du meilleur est immanquable. D.I.V.A se place là, tout en haut de l’affiche du Théâtre Montparnasse, en pôle position.
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Quand la Maîtrise des Hauts-de-Seine se met en scène : Didon et Enée
Ce n’est pas un hasard si la Maîtrise des Hauts-de-Seine a fait le choix de l’Opéra Baroque de Purcell Didon et Enée. C'est une œuvre à la fois lyrique, théâtrale et chorégraphique qui décloisonne les arts et a pour vocation d’inspirer la jeunesse.
En 1689, Purcell a trente ans, il se glisse derrière le clavecin et confie sa composition aux élèves d’un pensionnat de jeunes filles du quartier de Chelsea à Londres. Plusieurs siècles plus tard au Théâtre de la Garenne Colombes, dans un quartier certes bien moins artistique -mais Chelsea aussi a changé- les jeunes pousses de la Maîtrise des Hauts-de-Seine réaniment Didon et rappellent Enée à la rescousse.
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THE MONKEY'S CHILD
Sur le terrain, onze adolescents, entre 11 ans et 16 ans, avancent dans un même élan : faire de la musique tous ensemble. Un peu comédiens, parfois danseurs, toujours musiciens, The Monkey’s child (teaser) ont choisi d’explorer la musique, toutes les musiques, qu’ils transforment au gré de leurs envies.
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Histoire du soldat, de Stravinski et Ramuz, jusqu'au 16 juillet au Théâtre de Poche-Montparnasse
Un soldat rentre chez lui et fait la rencontre d'un homme qui se révèle être le Diable, le soldat lui vend son âme incarnée par son violon contre un livre magique, promesse de richesses et de succès.
Depuis sa création en 1917, « Histoire du Soldat » est une œuvre complète. A la fois dramatique par le jeu de ses trois récitants, musicale par la proposition de sept instrumentistes et enfin chorégraphique. Pour ce qui est de la danse, Cranko, Robbins, Babillé, Kylian -rien que ça- et Gallotta -et d’autres encore- se sont déjà emparés du modèle ; difficile pour Sebastiàn Galeota d’y inscrire sa chorégraphie sur l’étroite scène du Poche-Montparnasse. Mais, l’intention reste juste, l’adroite mise en scène de Stéphan DRUET inscrit les arabesques de Aurélie Loussouarn sur du papier millimétré.
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Noé, Malandain Ballet Biarritz au Théâtre National de Chaillot
Les Ballets de Biarritz sont à Paris. Depuis le 10 mai et jusqu’au 24 mai, Thierry Malandain présente la création « Noé ». En mélomane inspiré le chorégraphe accompagne son oeuvre par La Messa di Gloria de Rossini sur le plateau du Théâtre National de Chaillot jamais quitté par vingt-deux danseurs, archi talentueux, pendant près d’une heure trente.
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Dimanche 7 mai 2017, avant ou après être allé voter, le public est invité à visiter gratuitement le Musée national de l’histoire de l’immigration
Le Musée national de l’histoire de l’immigration ouvre gratuitement ses portes et permet à tous les visiteurs de découvrir gratuitement son exposition temporaire CIAO ITALIA !, ainsi que les nombreuses contributions des immigrés à la société française, à travers ses espaces permanents Repères et la Galerie des dons.
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"Eloquence à L'Assemblée" au Théâtre de l'Atelier, puis en tournée
Au cinéma dans Polisse, Max, Le Bal des actrices, Les Seigneurs ou bien L’amour dure trois ans, entre autres, Joeystarr a convaincu en jouant sur toutes les octaves qu’un large public ne soupçonnait peut-être pas au départ. Appât savoureux des médias people dès qu’il est question de ses frasques et débordements en tout genre, Joeystarr est aussi un homme concerné et engagé, militant LCR parfois et fervent antiraciste toujours : l’artiste est un lutteur insatiable.
Entrer en scène au Théâtre de l’Atelier est pourtant un des plus grands défis que s’est lancé Joeystarr. A entendre l’enfant terrible du rap lorsqu’il interpelle un spectateur indiscipliné : « hé ? gars ! Pourquoi tu parles ? Au cinéma tu parles à l’écran ? Bah non ! Alors ? Là c’est pareil : tu parles pas », le respect pour ces planches et l’humilité du comédien sont bien perceptibles : le Théâtre ce n’est pas du cinéma…
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"C'est encore mieux l'après-midi" au Théâtre Hébertot
S’il y a bien un genre de Théâtre rarement évoqué sur ce blog, c’est bien le Théâtre de Boulevard. Les femmes bafouées, les amants lâches et les maris coléreux, dont le voisinage s’approche souvent de l’hystérie collective, m’exaspèrent...
Au Théâtre Hébertot, il n’y a rien de tout ça ! « C’est encore mieux l’après midi » (Two into one – 1984) du génial auteur Ray Cooney est à se plier de rires ! -
Shaman & Shadoc ou l'imposture des rats, au Théâtre Essaïon jusqu'au 13 mai
C’est là où tout se passe, c’est là où tout commence…
Le centre de Paris peut s’enorgueillir de frontons célèbres comme c’est le cas pour la façade du Théâtre du Châtelet ou du Théâtre de la Ville, et aussi de lieux de création plus confidentiels... Le Café de la Gare par exemple, juste derrière le Centre Georges Pompidou aux portes du Marais, abrite en son sein un foisonnement théâtral dont, malgré vents et marées depuis Mai 68, la réputation n’est plus à faire. Et puis, tout proche, dans la minuscule rue Pierre au Lard, le Théâtre Essaïon a l’âme plus discrète mais toute aussi volontaire. -
Le Songe d'une nuit d'été à La Cartoucherie jusqu'au 2 avril
On ne va pas assez souvent à La Cartoucherie !
Sous l’impulsion première de sa mère nourricière Ariane Mnouchkine depuis 1964, l’ancienne réserve de poudre et munitions du Château de Vincennes demeure un des berceaux créatifs des plus intéressants.
« Le Songe d’une nuit d’été » de William Shakespeare se joue Salle Copi jusqu’au 2 avril. Rien de très nouveau qu’une œuvre de Shakespeare jouée en ces lieux déjà si fortement emprunts des grands auteurs.
En 1996, j’avais eu la chance de découvrir cette même œuvre interprétée par la formidable et acrobatique troupe belge « Les Baladins du Miroir ». Plus de vingt ans après, je découvre un nouveau songe, cette fois par la troupe du Théâtre de la Véranda … -
Le Dernier Testament au Théâtre National de Chaillot, jusqu'au 3 février
S’emparer du best-seller américain Le Dernier Testament de Ben Zion Avrohom de James Frey était un sacré défi.
Mélanie Laurent l’a fait, approprié, adapté, mis en scène et enfin livré en pâture au public et à la critique. Un mets de choix. -
"Hôtel des deux Mondes" au Théâtre Rive-Gauche
J’aime le Théâtre d’Eric-Emmanuel Schmitt. D’ailleurs ses succès se bousculent, je marque une préférence pour « Le Visiteur », « Les Variations énigmatiques » ou plus récemment « La trahison d’Einstein » avec le formidable Jean-Claude Dreyfus... Le Théâtre d’Eric-Emmanuel Schmitt est d’un genre particulier, son genre à lui, entre Comédie et Drame bourgeois frôlant parfois le Théâtre de l’Absurde, l’auteur a l’adroite manière de s’adresser à un public extrêmement large. Des sujets très graves sont traités avec la naïveté apparente et la tendresse des brèves de comptoir, le ton semble toujours léger mais le questionnement est profond et existentiel. C’est une réflexion sérieuse qui ne se prend pas au sérieux, le texte garde toujours suffisamment de coquetterie pour prendre l’air d’un divertissement savoureux. La recette est d’une efficacité redoutable.
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« Rimbaud Verlaine Eclipse totale » au Poche-Montparnasse
Les amours de Verlaine et Rimbaud sont en effet bien sombres sous cette Eclipse totale de Christopher Hampton au Poche-Montparnasse. Le dramaturge britannique caricature un peu et offre une image qui semble s'éloigner de notre imaginaire littéraire…Rimbaud a dix-sept ans, il débarque à Paris en réponse à l’invitation de Verlaine. Verlaine est un poète embourgeoisé, marié avec une très jeune femme et bientôt père de famille. Des périples entre Bruxelles et Londres suivront, les deux hommes chercheront tour à tour à éveiller ou à apaiser le feu qui les anime, attisant aussi bien leur sexualité que leur inspiration à écrire. L’amour encore, toujours l’amour, il nourrit le poète quand il ne s’agit pas d’alcool, d’absinthe ou d’opium et celui-ci est violent, excessif et jaloux.
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Steven Isserlis invité par l’Orchestre de Chambre de Paris, sous la direction de Douglas Boyd - c’était le 10 janvier au Théâtre des Champs Elysées.
Les pièces composées pour le violoncelle sont aussi peu nombreuses que les concerts qui lui sont dédiés, heureusement l’Orchestre de Chambre de Paris ne manque pas d’idées et ses choix sont aussi riches qu’éclectiques. -
« Ce que le djazz fait à ma djambe » au Théâtre de l'Atelier jusqu'au 4 février
Les artistes ont toujours un problème : quand ils chantent ils voudraient danser, et quand ils jouent la comédie ils voudraient être musiciens, et lycée de Versailles... Jacques Gamblin lui aurait aimé être un musicien, c’est au Théâtre de l’Atelier qu’il a choisi de nous raconter son rêve dans «Ce que le djazz fait à ma djambe» (créé en 2011 lors du Festival de Jazz Sous les pommiers).
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"Roméo et Juliette" au Théâtre National de Chaillot, jusqu'au 24 décembre
Déjà, il y a la musique de Prokofiev. Si colorée, si vivante, il est aisé de comprendre pourquoi une somme éhontée de compositeurs s'est inspirée à grandes brassées de ces oeuvres éblouissantes.
La tragédie antique gravée dans le marbre par Shakespeare est le passage obligé en matière de création, l’exercice de style n’échappe pas aux auteurs dramatiques, aux compositeurs (pas moins de vingt-quatre Opéras) autant qu’aux chorégraphes. L’entreprise s’avère en réalité des plus ardues, se frotter à toutes formes de comparaisons est bien ce qui est de plus risqué et parfois aussi de plus ingrat.
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"La Peur" de Stefan Zweig au Théâtre Michel, prolongation jusqu'au 26 février 2017 !
Fritz est avocat, il se voue à sa carrière, Irène est femme au foyer, elle se voue à sa famille. En apparence ils s’aiment, en apparence tout va bien.
Le couple vit dans le meilleur des Mondes, privilégié par le confort et la réussite de Monsieur, lissé par le bon goût de Madame, tiré à quatre épingles par les us et coutumes de cette société bourgeoise, une image parfaite en somme aux teintes légèrement acidulées comme dans une réclame publicitaire des années 50. -
"Quintessence", Alexis Gruss et les Farfadets à Paris (Porte de Passy) jusqu'au 19 février 2017 et en tournée dans toute la France
En attendant de découvrir les impressions du blog sur le nouveau spectacle du Cirque Alexis Gruss "Quintessence", je vous propose de retrouver la magie du précédent spectacle entre ces lignes :
PÉGASE ET ICARE,
LE CIRQUE ALEXIS GRUSS -
"42nd Street" au Théâtre du Châtelet jusqu'au 8 janvier 2017
L’expression consacrée « Broadway est à Paris ! » s’est ringardisée avec la création des comédies musicales telles que Singin’ in the rain en 2015 ou peu de temps auparavant Un Américain à Paris en 2014, aujourd'hui il est coutume de dire : « Châtelet is in Broadway !»...
Pendant que les prestigieuses productions du Théâtre du Châtelet s’exportent outre-Atlantique, une toute nouvelle création de 42nd Street va réchauffer l'ambiance des prochaines soirées parisiennes. -
Rétrospective Bernard Buffet au Musée d’Art Moderne, jusqu’au 26 février 2017
La rétrospective tracée par le Musée d’Art Moderne commence par le Voyage autour de ma chambre, ensuite de nombreux autoportraits et portraits de précipitent jusqu’aux scènes de guerre et bibliques de crucifixion et la monumentale « Passion ». Bernard Buffet colle son œuvre à une culture des Beaux Arts indiscutable et dense, les thèmes des grands Maîtres ne lui échappent pas.
Jeune artiste, il peint partout, il cloue des draps sur les murs pour y jeter sa peinture. Il ne s'arrêtera pas jusqu'à La Mort, ce sera aussi le titre de sa dernière série d'oeuvres.